Comme l’a si bien vu le saint curé d’Ars, Jésus « prend tous les moyens possibles pour se trouver parmi les pécheurs afin de les attirer à son Père ». Serons-nous de ceux qui s’indigneront, se croyant bien portants ? Ou de ceux qui se reconnaîtront malades et qui se laisseront guérir ? « La miséricorde de Dieu est comme un torrent débordé ; elle entraîne les cœurs sur son passage », nous dit encore saint Jean-Marie Vianney.
Laisserons-nous nous entraîner ?
Extrait de Lumières dans la Bible (2022)
Le mot « vocation » est trompeur. Il donne l’impression d’une voix extérieure, d’un appel comparable à celui d’un directeur des ressources humaines…
Si les évangiles sont actuels, et s’ils sont une bonne nouvelle pour chaque génération et donc pour la nôtre, il faudrait écouter ce que dit l’ange, après être entré sans frapper,
La fête a été instituée en 1985, tout d’abord pour le diocèse de Cracovie par son évêque, le cardinal Franciszek Macharski, puis pour quelques autres diocèses de Pologne. Dix ans plus tard, en 1995, le pape Jean-Paul II l’a étendue à toute la Pologne, à la demande expresse de l’épiscopat polonais. Le 30 avril 2000, deuxième dimanche de Pâques de cette année-là et jour de la canonisation de sainte Faustine à Rome, il l’a élargie à toute l’Église.
Qui a voulu cette fête ?
Sœur Faustine Kowalska, religieuse polonaise du début du XXe siècle, a vu Jésus lui apparaître à plusieurs reprises. Elle a rapporté ses propos dans son Petit Journal, notamment celui-ci : « Je désire que le premier dimanche après Pâques soit la fête de la Miséricorde ».