
Occasions manquées
Imaginez une enveloppe dans votre boîte aux lettres. Dans cette enveloppe, une carte avec ces quelques mots : « Jésus-Christ, lors d’un passage dans votre commune, a choisi votre maison. Il vous prie de bien vouloir l’accueillir pour le dîner. »
Passée la surprise et vérification faite qu’il ne s’agit pas d’un canular, je suis sûr que vous vous mettriez vite à l’œuvre pour être à la hauteur de l’événement annoncé : accueillir Jésus lui-même ! Grand ménage et petits plats mitonnés avec amour !

Femme prophète
Anne, veuve d’un grand âge, a-t-elle vu le beau sourire du petit, amené à Jérusalem par Marie et Joseph ? L’Évangile décrit la fidélité de son humble prière au Temple. La constance de son jeûne l’identifie au petit reste d’Israël, ces pauvres fidèles, et au besoin de repentir du peuple juif. Son jeûne a augmenté sa clairvoyance.
JO 2024 : olympisme et religions, un même rêve de fraternité
À l’occasion des Jeux olympiques de Paris s’est déroulée, dimanche 4 août, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, une rencontre interreligieuse voulue par le président du Comité international olympique. Un événement qui illustre la place particulière laissée aux religions par l’olympisme, depuis la rénovation des Jeux.
Face au drapeau olympique se pressent et se saluent des hommes en col romain, d’autres portant une kippa, une chéchia, ou la robe des lamas bouddhistes, avant de s’asseoir sur un gradin. Au matin du dimanche 4 août, juste devant l’imposante silhouette de la cathédrale Notre-Dame de Paris, s’est tenue une rencontre inhabituelle entre sport et religions.
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La grâce de l’unité
Saint Jean nous rapporte la grande prière de Jésus avant de passer de ce monde à son Père : « Que tous soient un ». Est-elle possible, cette unité tant désirée par le Christ ? Regardons en nous et autour de nous : malgré nos résolutions et notre bonne volonté, force est de voir que nous avons souvent du mal à nous entendre. Allons-nous pour autant baisser les bras, et accepter nos divisions comme inévitables ? Surtout pas ! Cela signifierait renoncer à témoigner de l’amour du Père, qui est la source de notre unité.
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